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Mika est de retour. Quatre ans apr\u00e8s la sortie de\u00a0My Name Is Michael Holbrook,<\/i> l\u2019artiste de 40 ans revient en force avec un nouvel album intitul\u00e9\u00a0Que ta t\u00eate fleurisse.<\/i> Un disque en fran\u00e7ais gr\u00e2ce auquel il explore de \u00ab\u00a0nouveaux territoires cr\u00e9atifs\u00a0\u00bb<\/i><\/b>, rapporte Le Devoir<\/i>. \u00ab\u00a0J\u2019avais envie de sentir que je ne savais pas ce qui allait se passer, comment j\u2019allais me d\u00e9brouiller. Et la nouveaut\u00e9 est une chose tr\u00e8s importante, sp\u00e9cialement pour quelqu\u2019un comme moi, qui viens d\u2019avoir 40\u00a0ans. C\u2019\u00e9tait bien de sentir qu\u2019il y avait quelque chose de neuf\u00a0\u00bb, <\/i><\/b>confiait-il r\u00e9cemment dans les colonnes de nos confr\u00e8res.<\/p>\n
En pleine promotion de ce nouveau projet, l\u2019interpr\u00e8te de Lollipop<\/i>\u00a0encha\u00eene les interviews depuis quelques semaines. Ce dimanche 10\u00a0d\u00e9cembre 2023, il accordait d\u2019ailleurs un entretien au Journal du dimanche<\/i>. Une occasion pour le chanteur de revenir sur son processus de cr\u00e9ation. \u00ab\u00a0Je veux qu\u2019on entre dans\u00a0une\u00a0‘safe place’\u00a0color\u00e9e.\u00a0Un endroit o\u00f9 l\u2019on se sent en s\u00e9curit\u00e9, dans une musique pop, une ambiance \u00e0 la fois sexe et pleine de candeur.\u00a0J\u2019ai voulu un album sans honte, assum\u00e9, joyeux et romantique\u00a0\u00bb.<\/i><\/b><\/p>\n
A voir \u00e9galement\u00a0:\u00a0Mika jug\u00e9 comme \u00ab\u00a0\u00e9go\u00efste qui fuit sans cesse, un papa inutile\u00a0!\u00a0\u00bb par son mec<\/b><\/p>\n
\u00ab\u00a0Les huissiers nous avaient tout pris\u00a0\u00bb<\/b><\/b><\/p>\n
Au cours de cet \u00e9change, Mika a \u00e9galement \u00e9voqu\u00e9 son enfance difficile. \u00ab\u00a0Suite \u00e0 un revers de fortune, nous avons d\u00fb quitter Paris [\u2026]. Nous avons abandonn\u00e9 le confort du 16e arrondissement pour une vie plus instable \u00e0 Londres\u00a0\u00bb<\/b>, <\/i>a-t-il r\u00e9v\u00e9l\u00e9. Et de poursuivre\u00a0: \u00ab\u00a0\u00c0 Paris, les huissiers nous avaient tout pris. Mais il nous restait un piano droit\u00a0\u00bb<\/b>.\u00a0<\/i>Un piano gr\u00e2ce auquel il a \u00ab\u00a0appris \u00e0 jouer\u00a0\u00bb<\/i><\/b> et qui a sans doute \u00e9t\u00e9 d\u00e9terminant pour son avenir dans l\u2019industrie musicale.<\/p>\n
V.B<\/p>\n