Voil\u00e0 dix-huit saisons que Harry Roselmack<\/b> pr\u00e9sente le magazine Sept \u00e0 Huit<\/i>. Tous les dimanches, le journaliste propose divers sujets soci\u00e9taux, encadr\u00e9s par un portrait de la semaine<\/b>, qui fait la part belle \u00e0 une c\u00e9l\u00e9brit\u00e9, ou \u00e0 une personnalit\u00e9 qui a fait l’actualit\u00e9. Ce rendez-vous, longtemps incarn\u00e9 par Thierry Demaizi\u00e8re, a \u00e9t\u00e9 confi\u00e9 \u00e0 partir de 2018 \u00e0 St\u00e9phanie Davoigneau, qui a pass\u00e9 la main deux ans plus tard \u00e0 Audrey Crespo-Mara. Dans quelques semaines, la compagne de Thierry Ardisson va interviewer Joy et Jade Hallyday<\/b>, une premi\u00e8re pour les deux adolescentes qui n’avaient jamais accord\u00e9 aucune interview t\u00e9l\u00e9vis\u00e9e \u00e0 quiconque depuis la mort de leur p\u00e8re, Johnny Hallyday, il y a bient\u00f4t six ans.<\/p>\n
Invit\u00e9 d’On refait la t\u00e9l\u00e9<\/i> sur RTL ce samedi 2 d\u00e9cembre 2023, Harry Roselmack a r\u00e9gl\u00e9 ses comptes avec deux c\u00e9l\u00e9brit\u00e9s qui avaient tourn\u00e9 leurs portraits de la semaine mais qui ont finalement, \u00e0 la derni\u00e8re minute, demand\u00e9 \u00e0 ce que ces derniers ne soient pas diffus\u00e9s : \u00ab\u00a0C’est arriv\u00e9 \u00e0 ma connaissance deux fois ; en tout cas deux fois depuis que je pr\u00e9sente l’\u00e9mission. Et je ne donnerai pas les noms\u00a0\u00bb<\/i><\/b>a indiqu\u00e9 celui qui pendant quelques ann\u00e9es a \u00e9t\u00e9 le joker de Patrick Poivre d’Arvor et de Laurence Ferrari aux JT de TF1. Harry Roselmack a par la suite affirm\u00e9 que les invit\u00e9s interview\u00e9s par Audrey Crespo-Mara n’avaient aucune influence sur le portrait qui \u00e9tait diffus\u00e9 : \u00ab\u00a0Ils n’ont pas de droit au visionnage, ils n’ont pas le droit de le modifier. <\/i>Le portrait de la semaine, c’est de la confession\u00a0\u00bb<\/i> a-t-il expliqu\u00e9.<\/p>\n
Des confessions que les c\u00e9l\u00e9brit\u00e9s n’ont pas assum\u00e9es<\/b><\/p>\n
\u00ab\u00a0Cette interview se fait en confiance ; c’est-\u00e0-dire que la personne qui vient, jamais personne ne s’est senti pi\u00e9g\u00e9 par le portrait, si ce n’est, effectivement, ces deux personnes, qui ont eu le sentiment, a posteriori, qu’elles s’\u00e9taient trop donn\u00e9es<\/b>, qu’elles s’\u00e9taient trop livr\u00e9es, et qu’elles ne pourraient pas g\u00e9rer l’apr\u00e8s<\/b>\u00ab\u00a0<\/i> a-t-il expliqu\u00e9. Harry Roselmack r\u00e9v\u00e8le que la production de Sept \u00e0 Huit<\/i> n’a aucunement insist\u00e9 aupr\u00e8s de ses deux invit\u00e9s, et a entendu leurs r\u00e9clamations : \u00ab\u00a0On ne s’est m\u00eame pas permis d’insister, parce qu’on avait conscience que les cons\u00e9quences de la diffusion de ses d\u00e9clarations seraient pour les personnes concern\u00e9es et pour leur entourage compliqu\u00e9es \u00e0 g\u00e9rer<\/b>\u00ab\u00a0<\/i>. Harry Roselmack a indiqu\u00e9 que les interviewes pouvaient durer \u00ab\u00a030 minutes si les choses sont tr\u00e8s fluides\u00a0\u00bb<\/i> mais pouvaient \u00e9galement \u00ab\u00a0durer un peu\u00a0\u00bb<\/i>.<\/p>\n