Ce mercredi 22 novembre, pour la premi\u00e8re fois dans l’histoire du Meilleur p\u00e2tissier, les candidats quittent la tente pour p\u00e2tisser \u00e0… DisneyLand Paris. Cela a-t-il engendr\u00e9 des difficult\u00e9s particuli\u00e8res ? R\u00e9ponse.<\/p>\n<\/h2>\n
"R\u00eave ta vie en couleurs<\/i>" chantait Peter Pan. Les candidats du Meilleur p\u00e2tissier<\/i>ont visiblement suivi son conseil, puisque c’est un r\u00eave \u00e9veill\u00e9 qu’ils ont v\u00e9cu. Dans l’\u00e9pisode diffus\u00e9 ce mercredi 22 novembre, les six p\u00e2tissiers amateurs encore en lice ont quitt\u00e9 la tente le temps d’une \u00e9preuve<\/strong>. Direction DisneyLand Paris, et plus pr\u00e9cis\u00e9ment l’auberge de Cendrillon o\u00f9 ils ont d\u00e9couvert des plans de travail sp\u00e9cialement install\u00e9s pour l’occasion. Une grande premi\u00e8re dans l’histoire du concours<\/strong>. Cette onzi\u00e8me semaine de comp\u00e9tition avait pourtant d\u00e9marr\u00e9 de mani\u00e8re classique. Fanny, Thibault, Emily, Julia, Bertrand et David ont d’abord revisit\u00e9 la tarte aux pommes (en r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 Blanche-Neige) puis ont confectionn\u00e9 un Kransekake en hommage \u00e0 Elsa et Anna de La Reine des neiges<\/i>, sous la c\u00e9l\u00e8bre tente du Meilleur p\u00e2tissier<\/i>.<\/p>\n C’est \u00e0 l’issue de cette journ\u00e9e que Marie Portolano leur a annonc\u00e9 la bonne (ou pas) nouvelle. Et pour cause, cette d\u00e9localisation n’a pas \u00e9t\u00e9 sans difficult\u00e9<\/strong>. "Tr\u00e8s \u00e9go\u00efstement, on a ador\u00e9 cette \u00e9preuve. Les p\u00e2tissiers aussi, enfin au d\u00e9but<\/i>", nous lance dans un \u00e9clat de rire Cyril Lignac. "Ils \u00e9taient comme des fous<\/i>", se rem\u00e9more le c\u00e9l\u00e8bre chef. Mais dans la pratique, ce n’\u00e9tait plus la m\u00eame histoire. "D\u00e9placer la tente, c’est compliqu\u00e9. <\/i>Les candidats perdaient leurs habitudes<\/i><\/strong>, les ingr\u00e9dients et ustensiles \u00e9taient plac\u00e9s diff\u00e9remmen<\/i>t", d\u00e9taille Cyril Lignac. Et Bertrand de confirmer : "Il faut qu’on prenne nos marques, ce n’est vraiment pas \u00e9vident. Depuis onze semaines, on est habitu\u00e9s \u00e0 la tente, on avait pris tous nos rep\u00e8res. L\u00e0, on a l’impression de revenir au premier jour sous la tente.<\/i>" M\u00eame son de cloche du c\u00f4t\u00e9 de Fanny : "On est tellement habitu\u00e9s \u00e0 la tente qu’on perd nos rep\u00e8res<\/i><\/strong>.<\/i>" Et c’est sans parler de la chaleur.<\/p>\n