Horrifié par les accusations de racisme portées à l’encontre de Kate, le futur roi d’Angleterre n’attend qu’une chose : monter sur le trône afin de régler à jamais le compte des Sussex.
Ça va saigner ! Quand, comment ? Le prince William ne le sait pas encore, mais il est sûr d’une chose : le mal que Harry et Meghan ont fait à sa femme, ils le paieront cher. Depuis que le biographe des Sussex a sorti par accident les noms des personnes qui auraient tenu des propos racistes envers Archie, Kate Middleton est dans la tourmente. “La princesse de Galles est extrêmement choquée que l’on puisse penser cela d’elle. Elle est très blessée par toutes les calomnies d’Omid Scobie”, rapporte un proche.
Humiliée, dévastée, la princesse souffre en silence. Seul témoin de ses blessures, son mari connaît l’ampleur du désastre. Comment rester de marbre quand on voit son épouse au trente-sixième dessous ? “Pour William, c’est un point de non-retour. En s’en prenant à Kate, les Sussex ont commis la trahison de trop”, souffle un proche au tabloïd Daily Express.
Alors, le prince de Galles rumine sa vengeance. Convaincu que son père est “trop doux, trop laxiste” avec Harry, William n’attend qu’une chose : pouvoir enfin monter sur le trône et régler l’épineuse question Sussex une bonne fois pour toutes. “Il est beaucoup moins magnanime que le roi Charles III, il n’hésitera pas à faire preuve de sévérité”, confie une source bien informée.
La preuve, dans l’affaire du prince Andrew accusé de viol, c’est lui qui a fait pencher la balance vers la déchéance des titres. Il se murmure même qu’il s’était prononcé en faveur de l’exil, c’est dire ! Connu pour son impulsivité et ses colères noires, William a désormais dans le viseur son propre frère et sa belle-sœur. Une chose est certaine, l’espoir d’une trêve ou de retrouvailles entre les deux fils de Lady Diana est définitivement balayée…
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Un nouveau coup bas
Il n’en loupe pas une ! La semaine dernière, le mari de Meghan Markle a tenté de débaucher l’ancien plus proche conseiller de William et Kate, Nick Booth. Après la démission à l’automne de deux cadres supérieurs, le PDG et le directeur commercial des Invictus Games, Harry est dans la panade. “Il sait qu’il lui faut quelqu’un de solide s’il souhaite qu’il y ait une prochaine édition de ses jeux”, rapporte un proche. C’est donc tout naturellement que le prince s’est tourné vers les recrues de son frère. C’est pas joli joli de voler, Harry !
Léa Hasvry
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