Voilà déjà quelques mois que Karine Ferri est mariée à son chéri Yoann Gourcuff. L’animatrice star de TF1 n’a pourtant pas entamé les démarches pour prendre le nom de famille de son époux et elle explique aujourd’hui pourquoi elle désire garder son nom de jeune fille…
Depuis le 8 juin dernier, Yoann Gourcuff et Karine Ferri sont officiellement mari et femme. En couple depuis 2011, les deux tourtereaux ont toujours misé sur la discrétion et n’apparaissent que rarement ensemble. Le 6 avril 2016, la jeune femme a donné naissance à leur petit garçon joliment prénommé Maël. Le 16 juillet 2018, c’est la petite Claudia qui est venue agrandir la famille. Après avoir fondé une adorable petite famille, le joueur de football et l’animatrice ont donc décidé d’officialiser leur relation et se sont mariés cet été.
« Je suis Madame Gourcuff »
Malgré son union avec le père de ses enfants, Karine Ferri a décidé de conserver son nom de jeune fille à la télévision. Dans une interview accordée au magazine TV Grandes Chaînes, la jeune maman explique son choix, réalisé pour préserver son intimité : à la télévision. Dans une interview accordée à TV Grandes Chaînes et à paraître le lundi 14 octobre prochain, elle explique son choix, qui est une manière pour elle de préserver son intimité : « J’ai toujours séparé le professionnel du privé. Quand je travaille, je m’appelle Karine Ferri, et dans la vie de tous les jours, je suis Madame Gourcuff » déclare-t-elle.
Plus que jamais désireuse de garder une part de mystère et de vie privée, l’animatrice star du groupe TF1 confiait d’ailleurs à TV Magazine : « Ce sont des choses dont je n’ai pas forcément envie de parler, car cela concerne ma vie privée. Je dirai juste que je suis effectivement une femme mariée et que je suis très heureuse », confiait-elle au sujet de son mariage. Très protectrice, elle expliquait également qu’elle a fait le choix de ne pas exposer ses enfants et donc de ne pas dévoiler leurs visages : « Le fait d’être connu fait qu’il y a des choses que l’on n’arrive pas à maîtriser, qui font partie de cette notoriété. C’est désagréable, mais il faut faire avec », assurait celle qui vit désormais entre Paris et la Bretagne.
Aliénor de la Fontaine
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