Jean Castex taquiné en macronie : cette célèbre animatrice à qui il est comparé

Éloigné de la politique depuis qu’il est PDG de la RATP, l’ancien Premier ministre Jean Castex garde cependant une bonne aura dans le milieu et est régulièrement appelé par ses anciens confrères pour remettre des décorations. Des situations qui l’arrangeraient bien, selon le média Politico ce jeudi 12 octobre.

Les préoccupations de Matignon doivent sembler bien loin pour Jean Castex. Alors que plusieurs rumeurs parlent de l’ancien Premier ministre comme un des successeurs potentiels d’Emmanuel Macron en 2027, le désormais président-directeur général de la RATP garde une forme de discrétion sur le plan national, ne s’exprimant pas ou peu sur les problématiques de la société actuelle. Pourtant, sans trop en dire, ni en faire, l’ancien locataire de Matignon garde aussi une certaine attache avec la politique, notamment par un biais étonnant.

Dans sa newsletter quotidienne ce jeudi 12 octobre, le média Politico révèle que Jean Castex multipliait ces derniers temps les remises de décoration à l’égard de plusieurs femmes et hommes, politiques ou influents de la société. Récemment, celui qui a réussi le tour de force de faire revenir en politique Roselyne Bachelot a ainsi pu décorer Emmanuelle Wargon, son ancienne ministre du Logement, la vice-présidente du Medef, Dominique Carlac’h, le maire PS de Dijon, François Rebsamen ou encore le diacre varois Gilles Rebêche. Une série qui semble continuer en novembre prochain, Jean Castex ayant été appelé pour décorer son ex-secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, et qui en amuse certains : « C’est Valérie Damidot » en a ri une conseillère en communication lors de la décoration de Dominique Carlac’h.

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Jean Castex, candidat en 2027 ? Le doute demeure…

Mais ces remises de prix, que Jean Castex multiplie, ont un avantage pour lui, révèle la newsletter. Alors que ceux qui le sollicitent pour ces décorations le font pour « sa convivialité », son « sens de la bonne formule », son accessibilité ou encore du fait qu’il est avenant, chacune de ces opportunités est l’occasion parfaite pour lui de déclamer un discours dans lequel l’ancien Premier ministre peut distiller quelques idées politiques. Sans rien laisser transparaître, sans crier gare partout sur les toits, Jean Castex préparerait-il le terrain en vue d’une potentielle candidature aux futures présidentielles ? Si certains refusent d’y croire, le Premier ministre de la crise du Covid-19 ne semble en tout cas pas avoir dit son dernier mot, sait-on jamais…

Crédits photos : Jonathan Rebboah / Panoramic / Bestimage

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En 1995, le polémiste est éditorialiste pour Info Matin et sort le portrait Balladur, immobile à grands pas.

Ci-contre, Emmanuel Macron, au lycée La Providence d’Amiens, au début des années 1990. C’est à cette époque que l’intéressé a rencontré celle qui deviendra par la suite sa femme : Brigitte Trogneux. À l’époque, le look et la coiffure étaient moins soignés qu’aujourd’hui. Les t-shirts et pulls XXL ont laissé place aux costumes ajustés de chez Jonas&Cie.

Ci-contre, Christiane Taubira députée et surnommée « la petite hache » est reçue pour la première fois par Jean Pierre Elkabbach. La femme politique évoque sa vie de famille, ses projets de carrière politique dans le futur.

Ci-contre, Marine Le Pen (à droite), aux côtés de sa soeur Yann Le Pen et de son ex-beau frère Samuel Maréchal, sur le plateau d’une émission de télévision, en 1995. Cette année-là, la fille de Jean-Marie Le Pen, qui misait sur un style bon chic bon genre, avait déjà adhéré au Front National (devenu le Rassemblement National) mais n’avait pas encore tout à fait fait ses preuves en politique. Ce n’est qu’en réalité 1998 qu’elle a obtenu son premier mandat politique, en tant que conseillère régionale du Nord-Pas-de-Calais.

Ci-contre, Valérie Pécresse lors de sa première apparition médiatique. À l’époque, elle est auditrice au Conseil d’Etat à seulement 27 ans et présente son rôle au Conseil d’état.

Ci-contre, Jean-Luc Mélanchon est alors jeune sénateur de l’Essonne et veut incarner la nouvelle génération du Parti Socialiste. L’homme politique fait alors sa première apparition médiatique.

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