Elizabeth II un brin coquine : ce qu’elle avait caché sous sa robe de mariée

Le jour de son mariage avec le prince Philip Mountbatten, le 20 novembre 1947, la reine Elizabeth II n’avait pas dérogé à la tradition. Sous sa robe de mariée ce jour-là, la monarque britannique portait une toute autre tenue…

C’est un vrai mariage d’amour. Le 20 novembre 1947, la reine Elizabeth II a épousé le prince Philip Mountbatten lors d’une somptueuse cérémonie. Un jour rêvé pour les deux jeunes mariés, qui se connaissaient alors depuis déjà plus de huit ans. Pour son union royale, la future monarque britannique a évidemment respecté les traditions immuables. Mais, amoureuse éperdue, elle avait également réservé une petite surprise coquine à son époux. « Toute princesse qu’elle fût, elle n’avait négligé, pour la circonstance, aucune de ces superstitions naïves que le peuple ajoute aux cérémonies religieuses », écrit Paris Match dans un numéro hors-série consacré au « roman de la vie » d’Elizabeth II.

Ainsi, la princesse avait enfilé « quelque chose de neuf, quelque chose de vieux, quelque chose d’emprunté et quelque chose de bleu » sous sa fabuleuse robe de mariée, comme l’écrivent nos confrères : un vieux fourreau bleu coupé dans une robe du soir de sa mère. Pour le plus beau jour de sa vie, Elizabeth II portait une création de Norman Hartnell faite de soie ivoire, qu’elle avait dû s’offrir grâce à des tickets de rationnement, comme c’était d’usage à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Sa robe, devenue mythique, était composée d’une traîne de plus de quatre mètres, de plus de 10.000 broderies et de cristaux assemblés en plusieurs motifs inspirés du Printemps de Botticelli dont des roses d’York, des fleurs d’oranger, de jasmins, de seringat et d’épis de blé. Les traditions, Elizabeth II et le prince Philip les suivent toujours aujourd’hui.

Depuis leurs noces, il y a plus de 70 ans donc, ils n’ont jamais partagé le même lit. Au début de l’été 1949, lorsqu’ils ont pris possession de Clarence House, ils y ont découvert des chambres adjacentes qui communiquent par une porte. « Les couples aristocratiques ont toujours eu des chambres séparées. Cela évite d’être dérangé par des ronflements ou par des mouvements de jambes un peu brusques, expliquait Lady Pamela Mountbatten dans le livre, Elizabeth II, la vie d’un monarque écrit par Sally Bedell. Puis quand on se sent à l’aise, on peut parfois partager sa chambre. C’est agréable de pouvoir choisir. » D’ailleurs depuis sa retraite, celui qui a accepté un sacrifice en épousant la reine ne vit plus avec elle. Comme l’expliquait l’Express, le prince Philip passe la plupart de son temps bien loin de son épouse à dans le petit cottage de Wood Farm, situé au sein du domaine de Sandringham. Le secret de la longévité ?

Crédits photos : Bestimage

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